Hommage Mecanique

La Musique Mecanique avant le Phonographe.CD1:ORPHEE AUX ENFERS (1858/1874)LA CHATTE METAMORPHOSéE EN FEMME (1858)LA CHANSON DE FORTUNIO (1861)LA BELLE HELENE (1864)BARBE-BLEUE (1866)LA VIE PARISIENNE (1866/1873)LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN (1867)L’ILE DE TULIPATAN (1868)LA DIVA (1869)CD2:LE ROI CAROTTE (1872)FANTASIO (1872)LA JOLIE PARFUMEUSE (1873)BAGATELLE (1874)MADAME L’ARCHIDUC (1874)LE VOYAGE DANS LA LUNE (1875)LE DOCTEUR OX (1877)LA MAROCAINE (1879)LA FILLE DU TAMBOUR-MAJOR (1879)LES CONTES D’HOFFMANN (1881)OFFENBACHIANALa Musique Mécanique ou les prémices de l’enregistrement musical.Avant l’ère phonographique, lorsqu’il n’était possible d’écouter de la musique qu’en étant pianiste (apanage classique des jeunes filles de bonne famille du temps) ou en allant au concert, que ce soit au théâtre ou au kiosque municipal, l’Homme cherchait déjà à enregistrer la Musique pour la diffuser. Ne sachant comment sauvegarder les sons produits lors de l’interprétation même, les premiers efforts se sont portés vers l’automatisation des instruments eux-mêmes. On trouve des traces de la Musique Mécanique dans le clocher des églises possédant un carillon automatique, vers 1490 : un cylindre muni de pointes actionne alors le mécanisme de l’instrument concerné. Les carillons, et les orgues furent les premiers instruments à en être équipés ; les pianos de café et de rues utiliseront encore longtemps ce système.